Au coeur de la station, Le Val Thorens est l’adresse historique des pionniers de la glisse. À 2300 mètres, skis aux pieds, il fait face à l’un des plus grands domaines skiables du monde. Ce grand hôtel, à la fois montagnard et moderne, est un petit village à lui tout seul. Vivre au Val Thorens, c’est s’offrir la liberté d’explorer mille sensations en un seul lieu : 2 restaurants, 83 chambres et suites familiales, une terrasse, un panorama éblouissant, une piscine intérieure immense, un spa et un bar conçu comme une oeuvre d’art, le tout dans une ambiance dynamique et festive. Une expérience totale, qui transforme le regard que l’on porte traditionnellement sur la montagne pour proposer à chaque nouvelle saison une aventure intense, sportive et familiale.

Le Val Thorens ouvre sur Les 3 Vallées. Ses chambres aussi. Depuis leur balcon, la région s’offre à 360°. Une invitation… 83 chambres dont 2 adaptées aux personnes à mobilité réduite. Loin de la fièvre du bar-terrasse, les chambres invitent à la paresse. Dedans, muraux de bois, drapés de laine, ottoman capitonné… soufflent le chaud. Pause. Immédiatement.

Café-réveil, déjeuner sur le pouce, fondues traditionnelles d’après-ski, cocktails sur le tard… Les trois établissements du Val Thorens conjuguent vos envies de manger local, à tous les temps. Plus que pratique et convivial : ludique et au goût de l’époque. Capitonné, velouré, boisé, le nouveau bar fait un refuge de choix… pour faire la fête ! Bien au chaud, entre feu de cheminée, bandes-son colorées, cocktails d’hier à la mode d’aujourd’hui et sets de DJ. Un vent de douce folie seventies, de 10h à 23h. Les traditions aussi ont tout bon. Ici, elles rythment une cuisine d’altitude sans âge, haute en fromages. Le terroir montagnard par le menu, entre raclette, tartiflette et… fondue. Authentique et sincère. Le jour, « la » terrasse du front de pistes brasse. Skieurs de la première heure, amateurs de plein soleil et mordus de l’après-ski s’entremêlent. Vite faits, bien faits défilent alors classe-croûte aux diots, croque-beaufort, tartelette myrtilles…, sur place comme à emporter. Le soir, la salle marque davantage la pause. Celle que la générosité de ses plats de bistrot léchés impose. Deux temps. Plein de mouvements.